A la Meilleraie, à l'endroit même où Bonchamps a rendu son dernier souffle
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Cette étape d'un peu plus d'une semaine dans la cité lavalloise va lui permettre de soigner ses quelques blessures, pas graves mais assez embêtantes : en effet, hormis les nombreuses ampoules aux pieds, Christian Guibert avoue avoir mal au cuisses, aux mollets, autant de maux résultant d'une marche sur de longues distances et sur un terrain pas toujours très stable...
Ce qu'il redoute le plus, c'est la tendinite, car cela le contraindrait à devoir mettre un terme au périple qu'il a consciencieusement préparé depuis si longtemps déjà...
Le point positif dans tout ça, c'est que le ciel a été relativement clément avec lui pour ses premiers jours sur les routes : une météo presque idéale, avec quasiment pas de pluie.
Ce qu'il redoute le plus, c'est la tendinite, car cela le contraindrait à devoir mettre un terme au périple qu'il a consciencieusement préparé depuis si longtemps déjà...
Le point positif dans tout ça, c'est que le ciel a été relativement clément avec lui pour ses premiers jours sur les routes : une météo presque idéale, avec quasiment pas de pluie.
Christian Guibert devant le tombeau de Charles de Bonchamps, œuvre du sculpteur David d'Angers, dans l'église abbatiale de St-Florent le Vieil.
Avant d'arriver à Laval en ce matin du 23 Octobre, il est passé par Chateau-Gontier puis par Entrammes, où il a fait un petit détour par l'abbaye Notre-Dame de Port-du-Salut (célèbre pour son fromage...), et par un charmant petit village : Saint-Germain de l'Homme, petit bourg très pittoresque, avec son église, son prieuré...
Christian Guibert repartira le Vendredi 1er Novembre prochain pour mettre le cap sur la ville de Mayenne, distante d'une bonne trentaine de kilomètres de Laval.
Il avoue garder le moral, et mettre à profit ces instants de marche pour mesurer l'exploit accompli il y a 220 ans par l'armée vendéenne en exil. « C'est inimaginable ! », reconnait-il. « Plus je marche, et plus je me dis que c'est un rythme fou, avec à l'époque, encore d'autres conditions qu'aujourd'hui : la peur, la persécussion des soldats républicains... A mesure que je marche et que j'avance, j'imagine toute la souffrance que les Vendéens ont dû endurer ».
Dans son cas, la marche, par-delà l'hommage, favorise une prise de conscience de tout ce qui fut cette Virée de Galerne, virée de galère pour l'armée vendéenne.
Puissent donc ces quelques jours à Laval être bénéfiques pour Christian Guibert. Puisse t-il aussi se reposer et reprendre quelques forces pour la suite de cette formidable aventure qu'assurément, nous ne manquerons pas de suivre de très près !
Christian Guibert repartira le Vendredi 1er Novembre prochain pour mettre le cap sur la ville de Mayenne, distante d'une bonne trentaine de kilomètres de Laval.
Il avoue garder le moral, et mettre à profit ces instants de marche pour mesurer l'exploit accompli il y a 220 ans par l'armée vendéenne en exil. « C'est inimaginable ! », reconnait-il. « Plus je marche, et plus je me dis que c'est un rythme fou, avec à l'époque, encore d'autres conditions qu'aujourd'hui : la peur, la persécussion des soldats républicains... A mesure que je marche et que j'avance, j'imagine toute la souffrance que les Vendéens ont dû endurer ».
Dans son cas, la marche, par-delà l'hommage, favorise une prise de conscience de tout ce qui fut cette Virée de Galerne, virée de galère pour l'armée vendéenne.
Puissent donc ces quelques jours à Laval être bénéfiques pour Christian Guibert. Puisse t-il aussi se reposer et reprendre quelques forces pour la suite de cette formidable aventure qu'assurément, nous ne manquerons pas de suivre de très près !